Review de Secret Empire 1 (Panini 2018)
C’est parti pour un nouvel Event Marvel. Je ne lis plus trop de séries Marvel, mais, je me suis décidé à laisser sa chance à ce crossover. Alors, pour quelqu’un comme moi qui est devenu un lecteur occasionnel de l’univers Marvel, je dois dire que le pitch est étonnant.
Captain America se retrouve, par une pirouette scénaristique, à la tête de l’Hydra. A cause d’un cube cosmique, son histoire a été ré-écrite, et voilà le symbole des américains agent de l’organisation terroriste Hydra. Progressivement il va même prendre la tête de cette organisation. Le crossover commence à ce moment là, alors qu’aux yeux de tous, l’ancien héros est toujours directeur du Shield.
Alors que la Terre est menacée par une invasion Chitauri, Captain Marvel et sa bande essaye de les empêcher d’atteindre la planète bleue. La bataille fait rage dans l’espace, et dans les grandes villes, les super vilains semblent s’être alliés pour attaquer ensemble les héros. Bref l’avenir des héros ne s’annonce pas brillant. Et cela ne fait que commencer, car tout cela fait partie du plan machiavélique de Captain America pour que l’Hydra dirige le monde !
J’avoue avoir été assez surpris et absorbé par la lecture de ces premiers épisodes, écrits par un Nick Spencer plutôt en forme ! Graphiquement, Marvel a mis les moyens, avec quelques pointures: Andra Sorrentino, Daniel Acuna, Steve McNiven. Dommage que leur style assez différent ne permette pas d’avoir une cohérence au fil des épisodes.
Enfin, comme à son habitude, Panini nous sert plusieurs épisodes bouche-trous: Secret Empire: Brave New World et Captain Marvel. Trois épisodes qui permettent de voir les événements d’un autre point de vue, mais avec des histoires très dispensables.
Sortie: Aout 1992
Editeur: Panini
Où le trouver: Se trouve en kiosque.
Contient les épisodes:
- FDBC: Prologue to Secret Empire
- Secret Empire 0-1
- Secret Empire: Brave New World 1-2
- Mighty Captain Marvel 5
Avis: Si les débuts du crossover sont plutôt prometteurs, les épisodes que Panini nous sert en bouche-trou comme à son habitude laisse à la lecture un goût mitigé.