Mes Lectures: L’histoire de Final Fantasy VI – La divine épopée
Final Fantasy VI est depuis longtemps dans mon Top 10 toute catégorie confondue. C’est certainement un des rares jeux sur lequel j’ai passé autant d’heures. C’est également aussi le seul RPG que j’ai terminé plusieurs fois. L’univers légèrement Steampunk, les nombreux personnages jouables, les scènes épiques, l’intrigue prenante, tout était là pour en faire à l’époque une claque monumentale et un jeu culte de la SNES !
Depuis, j’ai eu l’occasion de lire de nombreux articles sur ce jeu: sa création, ses auteurs. Lorsque j’ai vu ce livre publié par Pix’n Love, je me suis dit que ça serait une bonne porte d’entrée pour moi dans le monde de la littérature jeux vidéo.
Ecrit par Romain Dasnoy et Nathanaël Drouard, ce roman retrace en cinq grands chapitres ce qu’il faut savoir sur cette oeuvre: L’intrigue, les protagonistes, l’histoire de sa création et la musique. Si les premiers chapitres sont passionnants, et permettent de (re)découvrir les personnages, leur histoire, j’ai trouvé la suite moins passionnante à lire. Les auteurs essaient d’analyser le jeu: son influence sur le reste de la saga, les inspirations des créateurs. Mais voilà, je m’attendais surtout à découvrir de nombreuses anecdotes sur la création du jeu, ses auteurs, et je n’ai finalement pas lu grand chose que je ne connaissais déjà. De plus, certaines informations sont redondantes et reviennent plusieurs fois au fil des chapitres.
Heureusement, le livre se termine sur le chapitre dédié à la musique, musique au combien exceptionnelle ! Et ce chapitre à réussi à retenir mon attention jusqu’à la dernière page, ce qui est déjà un exploit en soi, vu le peu de roman que je lis jusqu’à la fin !
Sortie: Septembre 2018
Editeur: Pix’n Love
Où le trouver: Se trouve sur le site Pix’n Love, en librairie ou sur Amazon!
Avis: Le début de ce livre est passionnant, la fin aussi. Malheureusement, j’ai beaucoup moins accroché sur les chapitres dans lesquels les auteurs essayer d’analyser ce jeu culte !
Bonjour,
À la fin du livre, l’auteur dit que FF6 est « pas meilleur qu’un autre »… De quoi se marrer un bon coup, avant la poubelle !